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HYPNOSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE
ET PRÉNATALE

 

 » Tous les souvenirs de nos parents, de nos ancêtres,
sont inclus dans nous. »

Françoise Dolto

Les informations contenues dans notre Inconscient, si elles étaient écrites dans un livre, ne tiendraient pas dans la plus grande bibliothèque du monde !

Notre Inconscient n’oublie rien ! Rien de ce que nous avons vécu, rien de ce que nous avons ressenti dans le ventre de notre mère, rien non plus de ce qu’ont vécu ceux qui nous ont précédés. Mais fort heureusement, il ne nous laisse pas accéder à chacune de ces informations en permanence !

Lorsque nous vivons une expérience en lien avec l’une de ces mémoires, ou lorsque nous traversons la faille temporelle qui s’ouvre lorsqu’une date se répète, le livre s’ouvre… révélant dans un premier temps non pas les informations qu’il contient mais les émotions qui sont associées à cet évènement.

Et nous développons un mal-être, ou une maladie. Jusqu’à ce qu’un travail spécifique ait permis de retrouver la page où est consigné le souvenir. Ce passage de l’état de conscience à l’état d’inconscience règle bien souvent le problème sans que nous n’ayons rien d’autre à faire.

MÉMOIRES D’ANCÊTRES

Il est des mémoires qui ne s’effacent jamais, gravées dans le marbre de l’Inconscient personnel et familial. Les libérer est absolument nécessaire pour permettre à ceux qui les portent, le plus souvent à leur insu, de vivre sans être influencés par les blessures qu’ont subies ou infligées leurs aïeux.

 » Nous continuons la chaîne des générations et payons les dettes du passé tant qu’on n’a pas effacé l’ardoise. Une sorte de loyauté invisible nous pousse à répéter, que nous le voulions ou non, que nous le sachions ou pas, des situations agréables ou des événements douloureux. Nous sommes moins libres que nous ne le croyons, mais nous avons la possibilité de reconquérir notre liberté et de sortir du destin répétitif de notre histoire, en comprenant les liens complexes qui se sont tissés dans notre famille. « 

Anne Ancelin Schützenberger

Il ne s’agit pas tant de démêler les fils de l’histoire mais bien d’améliorer notre qualité de vie en nous débarrassant de ces blessures qui ne nous appartiennent pas.

Un jour, j’ai reçu Ulysse, 8 mois, qui souffrait d’eczéma depuis qu’il avait 5 jours. Nous avons discuté avec sa maman et découvert que l’arrière-grand-mère d’Ulysse avait été abandonnée quelques jours après sa propre naissance.

Si l’enfant ne parle pas encore, nous aurons besoin que l’un des parents, de préférence la mère, nous offre le support de son Inconscient pour faciliter notre communication avec son tout petit.

 Pendant la séance d’Hypnose Humaniste, la maman d’Ulysse a beaucoup pleuré en voyant un fleuve se tarir. Elle ne cessait de répéter « il n’y a plus d’eau et je ne sais pas pourquoi, mais c’est très grave ! » Elle a réussi à faire rentrer ce fleuve dans son lit et l’eczéma de son fils a guéri en quelques semaines à peine. Ulysse a aujourd’hui quatre ans et il ne souffre plus du tout d’eczéma…

Mémoires d'ancêtres

Plusieurs générations plus tard, nous pouvons porter le poids de fautes que nous n’avons pas commises ou de traumatismes que nos ancêtres ont subis et dont nous ignorions jusqu’à l’existence !

Permettre à ces mémoires de s’exprimer et libérer ces fantômes du passé peut transformer notre vie.

Jean-Luc témoigne :

 » Je me sentais tellement coupable ! Mais de quoi ? J’avais l’impression de porter une faute très lourde, mais je n’arrivais pas à l’identifier.

Après quelques séances au cours desquelles nous avons exploré les méandres de mon Inconscient et coupé des liens qui me faisaient souffrir, Diana m’a proposé de faire une séance de libération de mes mémoires transgénérationnelles.

Et là… j’ai compris ! Je n’avais rien fait de mal, mais je croulais sous le poids d’une responsabilité qui ne m’incombait pas. Mon arrière grand-père avait commis des actes répréhensibles et je portais ce fardeau comme si c’était le mien !

Personne ne m’en avait jamais parlé, mais lorsque j’interrogeais ma mère à ce sujet, elle m’avoua la vérité. Ce qu’elle me confia corroborait tout ce que j’avais retrouvé au cours de cette séance.

Je n’en voulus pas à mes parents de m’avoir caché la vérité. Il y a des choses qui ne sont pas faciles à dire… Mais depuis, je me sens léger, libre, et je ne me retrouve plus dans des situations injustes où l’on me fait des reproches infondés ! Merci… « 

 

Hypnose transgénérationnelle

« En découvrant l’arbre généalogique qui vit en nous, et en le soignant, nous pouvons nous libérer et retrouver notre intégrité profonde. « 

Patricia d’Angeli

LE SYNDROME DU GISANT

Il arrive qu’un enfant naisse dans une famille en deuil. Le Docteur Salomon Sellam, qui a découvert ce qu’il a appelé « le syndrome du gisant », qualifie ces décès « d’inadmissibles », ces morts « d’injustifiables ». Il s’agit le plus souvent d’un enfant mort à la naissance ou pendant la grossesse, ou de la mort d’un jeune adulte.

Ce séisme émotionnel crée dans la famille une onde de choc dont les répercussions pourront imprégner plusieurs générations, susceptibles d’occasionner des troubles psychologiques, comportementaux voire des dérèglements organiques chez celui que l’inconscient familial aura choisi pour réparer cet irréparable !

La famille charge ici inconsciemment celui que l’on appellera « le gisant » d’une responsabilité bien lourde : ramener la joie, combler ce vide immense laissé par l’absent en le remplaçant. Il arrive parfois que le gisant n’apparaisse que dans la génération suivante, voire plusieurs générations après le drame.

 » Un jour, un enfant va naître avec cette mémoire et il sera chargé par le clan de faire revivre ce jeune homme ou cette jeune femme qu’il n’a jamais connu. « 

Dr Salomon Sellam

Cette jeune femme est très certainement la « gisante » de l’enfant dont sa mère a avorté un an avant sa naissance. Elle en présente en tous cas tous les symptômes.

Lucie témoigne :

 » Ma mère était marocaine, elle a vécu avec un homme qu’elle n’aimait pas vraiment. Lorsqu’elle a été enceinte de lui alors qu’ils n’étaient même pas mariés, elle n’a pas pu garder l’enfant et a choisi d’avorter.

Elle ne s’est jamais complètement remise de ce qu’elle a vécu comme un drame, de cet enfant qu’elle n’aura jamais. Un an plus tard, elle avait épousé mon père et était enceinte de moi.

Je ne savais pas, jusqu’à ce que l’occasion me soit donnée de travailler sur ce point avec Diana, à quel point cet évènement, survenu avant ma naissance, avait pu impacter mes ressentis et mes comportements :

  • J’essayais toujours de combler tous les désirs de ma mère mais j’avais l’impression de ne jamais y parvenir. Pourtant, j’aurais pu décrocher la lune pour elle ! Lorsqu’elle me grondait pour quelque bêtise que je n’avais pas commise, ou juste parce qu’elle était triste, ou en colère, je la suppliais de me pardonner cette faute qui ne m’incombait pas.
  • J’ai toujours essayé d’être plus que parfaite, avec le sentiment prégnant de ne pas être à la hauteur, de ne pas être capable de satisfaire les attentes de mes parents, de mon conjoint, de mon employeur…
  • Je ne m’autorisais jamais à prendre du plaisir, comme si je n’y avais pas droit.
  • J’éprouvais une grande mélancolie, alors même que je suis quelqu’un de fondamentalement optimiste.
  • Je souffrais d’hyper-acousie et étais extrêmement sensible au bruit, et encore davantage aux cris.

Depuis que j’ai réussi, lors d’une séance en Hypnose Humaniste, à restituer à mon grand frère –j’ai toujours su qu’il s’agissait d’un garçon, cette mort qui ne m’appartient pas, depuis que nous avons pu nous dire au revoir et couper le cordon de souffrance qui nous reliait si intimement, ma vie a changé. Je regrette seulement de ne pas avoir entendu parler plus tôt du syndrome du gisant. « 

 » Certaines personnes n’osent pas prendre de place; respirent à peine et s’assoient dans la vie comme sur un strapontin. « 

Anne Ancelin Schützenberger

LA GEOBIOLOGIE

Nous vivons tous dans des maisons hantées… Hantées par la mémoire de ceux qui nous ont précédés, dans cet habitat, ou sur ce territoire. Cette empreinte énergétique est parfois appelée « la mémoire des murs ». Force est de constater qu’elle influence le quotidien des habitants.

 Les êtres humains peuvent également être perturbés par la présence de courants d’eau souterrains, de failles, de croisements de réseaux cosmo-telluriques négatifs et bien d’autres phénomènes.

 La géobiologie permet de corriger ces influences et de redonner le sourire, le sommeil, la santé, à ceux qui en souffraient.

 » Il est des lieux accueillants où l’on aimerait séjourner dans la douce quiétude d’un soir d’automne. D’autres où l’ambiance pétrie de mal-être nous pousse à quitter un chemin trop empreint d’un passé encore présent. Et certains d’où l’on partira en prenant ses jambes à son cou, submergé en un instant d’angoisses inexplicables. « 

Nathalie Andreu Renault

LA VIE INTRA-UTERINE

Une femme enceinte n’a pas toujours choisi de l’être. Et même si avoir un enfant procède d’un vrai choix, il arrive que, au cours de ces neuf longs mois que dure la gestation, la future mère se pose des questions existentielles. Aux prises avec des doutes extrêmement douloureux « serai-je capable d’élever ce petit bout en train de grandir en moi ? » ou « son papa sera-t-il à nos côtés lorsque nous aurons besoin de lui ? » et bien d’autres interrogations encore …Il se peut que cette maman se demande si elle a bien fait, voire qu’elle regrette d’attendre un bébé.

Le fœtus ressent fortement les émotions de sa maman, et ne les interprète pas toujours de la façon la plus juste… Il risque alors de se dire « je ne suis pas digne d’être aimé », ou pire « c’est à cause de moi que Maman est malheureuse ! Comment pourrai-je me faire pardonner ? » Ces pensées s’installent dans son inconscient, et risquent de resurgir plus tard, quand ce petit bout sera, à son tour, devenu un homme ou une femme. 

 » Même en l’absence d’organes des sens développés, notre conscience capte, enregistre et évalue toutes les informations dans l’utérus et dans l’environnement immédiat de notre mère… En l’absence de toute compréhension, l’embryon ou le fœtus interprète à sa manière l’évènement douloureux. « 

Christine Louveau

Les souffrances du fœtus sont si grandes que parfois l’enfant, puis l’adulte, mettra en place des stratégies pour y faire face. Par exemple : essayer de satisfaire les désirs de ses parents –ou de tous ceux dont il veut attirer l’amour ou l’attention, au détriment de ses propres besoins ; se couper de ses émotions ; tenter d’atteindre la perfection en ayant toujours l’impression de ne pas être à la hauteur ; et bien d’autres encore !

L’Inconscient regorge de ressources insoupçonnées pour sauvegarder notre intégrité, mais ses efforts pour nous protéger sont bien souvent pires que le mal. Et une fois le schéma installé, il est bien difficile de s’en défaire.

 » Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée. « 

Dalaï Lama

LE SYNDROME DU JUMEAU PERDU

Parmi les blessures les plus fréquentes qui affectent le petit d’homme pendant la vie intra-utérine, il y a la perte d’un jumeau. 10% à 20% des grossesses seraient gémellaires, et pourtant, seules 1% à 2% des grossesses donnent effectivement naissance à deux enfants. Le deuxième embryon meurt spontanément, souvent avant la 3ème semaine de gestation. C’est pourquoi la gémellité peut passer inaperçue aux yeux des parents, mais pas à ceux de l’enfant survivant… C’est ce qu’on appelle le « syndrome du jumeau perdu ».

Le syndrome du jumeau

Le Dr Claude Imbert, qui a consacré un livre entier à ce sujet, décrit les conséquences psychologiques que ce départ prématuré peut avoir sur l’autre enfant : dépression, incomplétude, échecs par sabotage, boulimie, anorexie, migraines, colites

Kaïna témoigne…

 » J’avais beaucoup travaillé avec Diana et réglé beaucoup de choses mais je ressentais encore un vide étrange… C’était viscéral, un petit « truc » qui m’empêchait encore d’être moi-même à 100%. Lorsqu’elle m’a proposé de faire une séance d’hypnose régressive, j’ai eu un petit peu peur… puis je me suis lancée, et je ne le regrette pas !

Le voyage commence… je réveille mes capacités extra-sensorielles et le champ des possibles devient alors illimité. Je perçois des bruits sourds, des sons, une chaleur… Me voilà, sans l’ombre d’un doute, dans le ventre de ma mère. Je « sens » qu’elle est au début de sa grossesse.

Je ressens une chaleur indescriptible, une sensation étrange. Je tourne la tête et je fais une rencontre inattendue…celle de mon jumeau ! Il partage le même petit espace cosy que le mien.

La nouvelle est un choc et en même temps d’une telle évidence… la plus grande de toute ma vie ! Je pense ne plus être sous hypnose tellement mon cœur bat fort. Toutes les cellules de mon corps ressentent si puissamment la présence de mon frère ! C’est bouleversant, puissant, magique … Je n’ai pas assez de mots pour le décrire.

Soudain, j’entends un énorme bruit, un bruit de tôle froissée, et le cri déchirant de ma mère qui hurle : « je l’ai perdu, je l’ai perdu ! » Je bouge dans tous les sens pour la rassurer, puis je tourne la tête pour solliciter l’aide de mon frère mais… il n’est plus là !

Je suis envahie par un intense sentiment de solitude, un vide sidéral. Nous étions deux, et maintenant, je suis toute seule. Plus un bruit, rien… Le silence est assourdissant. Mes larmes coulent. 

La voix de Diana me rassure, elle m’invite à revenir à moi-même. Je sors de cette séance d’hypnose bouleversée, je passe par toute une palette d’émotions. Mais je suis soulagée. J’ai passé toute ma vie à me dire qu’il me manquait quelque chose d’indéfinissable pour aller bien…. Et je viens de découvrir ce qui me manquait si profondément. Je vais pouvoir vivre maintenant.

Le lendemain de la séance, je vais voir mes parents. Je leur demande s’ils ont eu un accident de voiture lorsque ma mère était enceinte de moi. Mon père, étonné, me répond : « oui, en effet, nous avons eu un accident sans gravité. Mais comment le sais-tu ? Nous ne t’en avons jamais parlé ! ». Ma mère se souvient… « j’ai eu tellement peur de t’avoir perdue ! » Et mon père de rajouter : « ta mère était hystérique ! Elle ne cessait de répéter : je l’ai perdu, je l’ai perdu ! Mais heureusement, tu es là. »  Oui, moi, je suis là…

Tout ce que j’ai vécu pendant la séance d’hypnose vient d’être confirmé et tout prend sens, et tout devient vertigineux à la fois. Ce bruit de tôle froissée, les cris de ma mère, cette peur et puis ce vide… Il m’a fallu quelques jours pour me remettre de ces émotions. Je n’ai pas osé en parler à mes parents mais je suis sûre que tout au fond d’elle, Maman « sait ». N’a-t-elle pas crié « je l’ai perdu » ?

Depuis cette découverte, je ressens énormément de soulagement. J’ai enfin compris pourquoi toute ma vie, je ressentais ce vide, ce manque. Et surtout, je sais que je ne suis pas folle ! Je n’ai rien inventé, et je ne suis pas dépressive. Mon mal-être, si inexplicable, a enfin une « cause véritable » et le traumatisme que j’ai vécu est réel et reconnu !

J’ai trouvé les réponses nécessaires pour avancer dans la vie. J’ai mieux compris mes difficultés à faire des choix, ma peur panique d’être abandonnée, les situations qui se répètent, les blocages émotionnels… J’ai cessé de buter dans le même mur, et d’enfoncer des portes ouvertes. Une véritable LIBÉRATION !!

Commence alors le travail de reconstruction… lors d’une autre séance. Diana me pose des questions : j’ai déjà toutes les réponses. Je peux m’adresser à mon jumeau et il me répond. C’est une expérience d’une douceur infinie. Je sais à présent que dans d’autres lieux la vie continue, que la mort est passagère et que l’Amour est immortel… Cette séance a été pour moi un incroyable voyage à travers le temps et l’espace. J’ai vécu cette expérience avec énormément d’émotions, de bienveillance et de surprises, je ne m’attendais pas du tout à cela !

Selon moi, l’hypnose régressive ne nous propose pas de « revivre » des scènes traumatisantes mais de faire un « travail de réparation « . Et c’est d’une extrême efficacité ! « 

Outre la douleur d’avoir perdu un être particulièrement cher, le jumeau restant ressent parfois une intense culpabilité. Il peut avoir l’impression d’avoir pris la place de son jumeau, de l’avoir tué en quelque sorte.

Après avoir coupé ce lien de souffrance, il pourra enfin s’autoriser à prendre sa place, à vivre pleinement sa vie, et se délester d’un poids immense en comprenant qu’il n’est pas responsable de ce drame.

LA NAISSANCE

Les circonstances dans lesquelles se déroule la naissance peuvent elles aussi laisser des traces psychologiques importantes : angoisses, claustrophobie, peur du vide, peur du noir… Elles peuvent également impacter les relations que l’enfant, puis l’adulte, aura avec autrui : peur de prendre des décisions, peur du contact physique

L’Hypnose Humaniste permet de retrouver ces souvenirs, de les relativiser en jetant sur eux un regard neuf, afin de transformer ces souffrances si profondément enfouies et d’accéder enfin à la liberté d’être ce que l’on est vraiment.

La naissance

 » La plus grande émotion qu’un être humain puisse ressentir : celle de sa propre naissance. Être, à nouveau, au commencement de soi. Être, et que tout soit neuf. « 

Georges Dor

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